Mame-Diarra Niang et Raymond Meeks à la Fondation Henri Cartier-Bresson

Les quasi autoportraits, mais flous et en couleur de Mame-Diarra Niang, et les paysages topographiques en noir et blanc où sont passés les migrants en route vers le Royaume-Uni de Raymond Meeks.

Deux expositions différentes mais pas si dissemblables : une investigation au plus près de la matière, le corps ou ses traces, une interrogation sur l’absence et l’invisible, le brouillement et la clarté, une évocation de la mémoire et une façon particulière de présenter les photos pour déclencher une autre attention.

Bref, un moment d’humanité de notre passage sur Terre dans les salles d’exposition de la Fondation.

Écrire commentaire

Commentaires: 0